Cela ne rate pas: toutes les personnes que je rencontre, depuis quelques jours, me disent qu'elles n'aiment pas les "fêtes" (Noël surtout, le Nouvel An aussi). Je les rejoins en grande partie. Mais quand même. Pour justifier Noël, j'évoque le côté familial. Cela fait plaisir aux grands-parents. Eux qui invitaient, les voilà invités. N'est-ce pas un juste retour? Et l'affirmation d'une solidarité. N'est-il pas nécessaire de marquer l'année par quelques dates où l'on se retrouve?
J'ai entendu le plus extrême, il y a deux jours, dans la bouche d'un ami: "Une fête de famille? On se voit bien assez comme ça pendant l'année. Ce jour-là, mes parents veulent qu'on leur foute la paix. Un plat de pâtes, ce soir-là, me suffit".
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Il y a 11 mois
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