Autant j'ai en horreur les musiques de Noël diffusées dans les rues et les grands magasins dès le 20 novembre, autant j'ai une tradition de musiques et chants de Noël, que je n'écoute qu'une fois par an:
- d'abord une compil, où se croisent Bing Grosby, The King singers, les Compagnons de la chanson, The Mormon Tabernacle Choir, Chanticleer, The Golden Gate Quartet, The Andrews sisters, Nana Mouskouri, Wam, The Ray Connif Singers, les Colibris (et donc moi), etc.
- j'écoute aussi, en cette période, l'Oratorio de Noël de J.S. Bach, mais plus encore toutes les oeuvres de M.A. Charpentier (des Antiennes "O" ... à la Pastorale de Noêl);
- et puis cette année, le dernier album de Sting.
Une sélection de quelques pochettes d'albums:
Je ne sais pas pourquoi: mais je n'écoute jamais le Messie de Händel à Noël, mais à Pâques, ce qui doit être un contresens.
Je ne suis jamais à un contresens près.
Peut-être, ceci explique-t-il cela? Je n'aurai jamais ma place dans les cénacles, les réunions, aussi amicales soient-elles, qui posent a priori un consensus pour se réunir. Dans ma vie, j'en ai connu surtout trois: les Equipes Notre Dame, les conseils de faculté, certains dîners gay. Dans ces trois cas de figure, tout le monde joue un jeu aux règles communément admises. Je n'aime pas les jeux, parce que je n'aime pas les règles de jeu. Et donc, je n'ai vraiment ma place nulle part. Je suis surtout étonné de voir certains rebelles dans une cotterie devenir les plus ardents participants dans une autre.
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Il y a 11 mois
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