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samedi 1 septembre 2012

Florilège

Peu d'inspiration, ce jour.

Je m'en réfère à d'autres

"Il faut être heureux pour rendre heureux. Il faut rendre heureux pour être heureux" (Talmud).

"Pardonner par erreur me plaît davantage que punir à tort" (Saladin).

"Mon fils, alors âgé de huit ans, me demanda : "Si dieu existe, peut-il tout ? - Oui, pourquoi ? - Alors, peut-il décider qu'il n'existe pas ?" (J. Attali, Dictionnaire amoureux du judaïsme, Plon/Fayard, 2009, 307).

"Je me suis desquamé de mon moi comme un serpent se dépouille de sa peau, puis j'ai considéré mon essence, et je vis que j'étais Lui" (Abû Yazîd Bistâmi, sage soufi).

"J'ai eu trois éducations : la rue, l'école et la Bible. C'est finalement la Bible qui compte le plus" (Duke Elllington).

"Entre l'Islam et l'Occident, il ne faut pas chercher le compromis, mais au contraire l'Absolu, car le propre du relatif (et qu'est-ce que le compromis si ce n'est le relatif par excellence ?) est de diviser et seul l'Absolu peut unir" (Nadjm oud -Dim Bammate).

"L'amour et la raison ne s'embrassent pas ou alors ce n'est plus ni l'amour, ni la raison " (Jean-Yves Leloup).

"Que tous soient Un, comme toi Abba, tu es en moi et toi en moi " (Jn, 17, 22).

Connaissez vous les six juifs qui ont changé l'histoire du monde ? Moïse parce qu'il a dit : "Tout est loi". Jésus, parce qu'il a dit : "Tout est amour". Spinoza, parce qu'il a dit : "Tout est nature". Marx, par ce qu'il a dit : "Tout est argent". Freud, parce qu'il a dit : "Tout est sexe".  Enfin, Einstein, parce qu'il a conclu : "Tout est relatif".

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