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lundi 13 décembre 2010

Le juge et l'avocat, selon Benoît XVI

Le texte que je vais reproduire est incompréhensible pour le commun des mortels. Il est offert à la méditation des chrétiens dans certaines publications. Oserais-je ajouter qu'il est aussi incompréhensible pour le commun des chrétiens. Un peu plus averti du christianisme que d'autres, je dois bien avouer que je n'y comprends rien non plus.

L'avènement du Seigneur


Le jugement de Dieu est espérance, aussi bien parce qu'il est justice que parce qu'il est grâce. S'il était seulement grâce qui rend insignifiant tout ce qui est terrestre, Dieu resterait pour nous un débiteur de la réponse à la question de la justice - question décisive pour nous face à l'histoire et face à Dieu lui-même. S'il était pure justice, il ne pourrait être à la fin pour nous tous qu'un motif de peur. L'incarnation de Dieu dans le Christ a tellement lié l'un à l'autre - justice et grâce -  que la justice est établie avec fermeté. Nous attendons tous notre salut dans la crainte de Dieu et en tremblant (Ph. 2, 12). Malgré cela, la grâce nous permet à tous d'espérer et d'aller pleins de confiance à la rencontre du Juge que nous connaissons comme notre "avocat" (parakletos).

Ce texte est de Benoît XVI, pape et théologien.

Je ne sais pas ce que mes collègues juristes pensent de ceci.

Et la poésie dans tout cela? Ces paraboles de Jésus, par exemple, qui n'avaient d'autre but que de nous rendre meilleurs.

Quand je fais la vaisselle, je chante toujours. Cela fait rire Sam. Je chante des psaumes. J'invente les mélodies, mais aussi les textes ... j'emprunte des petits morceaux de texte, à gauche et à droite,  je les relie, je les associe, et cela fait un nouveau psaume! Cela a même du sens!

Quand je veux entendre des choses qui ont vraiment du sens, je vais à Wavreumont!

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