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mercredi 19 août 2009

19 août 2009

Le thermomètre monte ... 32, 33 °. De quoi sera faite l'actualité de ce jour?

Moins de mensonges? Moins de compromissions? Moins de privilèges? Ma possible syncope pour hyperthermie?

Anne-Marie Lizin ne sait plus comment faire parler d'elle. A Huy, voilà maintenant la guerre des places de parking entre la bourgmestre déchue et la nouvelle. La, de moins en moins pétulante, et de plus en plus pathétique, ex-bourgmestre, a, comme d'habitude, porté plainte. Elle avait oublié qu'elle n'était plus bourgmestre et a pris la place de parking de l'autre, laquelle s'est garée en bloquant la première. Dans un tel cas, on téléphone à la police, qui envoit une dépanneuse; cela m'est arrivé plus d'une fois. Madame Lizin a certes téléphoné à la police, mais n'a pas attendu qu'elle arrive. Elle a embouti le véhicule gênant pour pouvoir s'en aller. Ce qui est crispant avec la mère Lizin ... c'est qu'elle est toujours dans la zone grise de la légalité et de l'illégalité. Celle où on peut discuter à perte de vue. Elle aurait dû être avocat. Il n'en reste pas moins que son comportement fait de plus en plus douter de son état de santé mental.


Il ne sera dorénavant plus possible de faire un pélerinage de Bethléem, à Nazareth, puis à Cana, pour finir à Jérusalem. Le ministre israélien de l'intérieur a inventé le visa "territoire limité". Les agences de voyage locales et catholiques n'en reviennent toujours pas et le ministre du Tourisme ne décolère pas. Il n'y a pas qu'en Flandre qu'on trouve des politiciens territorialement à courte vue. En Israël aussi apparemment.


En Afghanistan, les talibans ont annoncé qu'ils tireraient sur la population qui se présentera demain (si elle le fait) aux élections.

Après une fusillade, dans une crèche, des tueries dans des écoles, des hold-up dans des maisons de retraite, on ne sait pas où cela va finir. Quelle société avons-nous engendrée?

Des voix s'élèvent, timidement. Elles parlent de dialogue, de connaissance mutuelle, pour réduire les oppositions. Elles rappellent aussi, non sans raison, que nous n'avons aucune raison, nous les occidentaux, de faire les fanfarons et la morale aux autres. Il y a 50 ans, à peine, et ceci n'est qu'un exemple infime, toutes les bonnes soeurs portaient le voile en rue, sans que personne ne s'en offusque, et ma grand-mère n'imaginait pas, par pudeur, de sortir sans chapeau et sans gants. Lors des réunions de famille, les femmes étaient aux fourneaux, et les hommes rassemblés dans une pièce où ils étaient servis, fumaient et racontaient des histoires d'hommes. Il faut du temps pour tout.











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