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mardi 17 août 2010

Autant pour les femmes que pour les hommes

Cet été, j'ai été subjugué; pas seulement une fois, mais plusieurs. J'eusse aimé que cela se produisît sur une plage ensoleillée; cela n'a pas été le cas, mais j'ai été subjugué quand même. Je vais parler, vous devez vous y attendre, de beaux jeunes hommes.

La pluie de ce mois d'août aidant, j'ai décidé de m'octroyer quelques séances de rattrapage cinématographique avec des films très bons et bons, mais qui n'atteindront pas le statut de chef d'oeuvre. Je préfère dans le fond.

Le premier est un film de Gaël Morel devenu réalisateur (mon premier souvenir de lui est, comme acteur, dans les "Roseaux sauvages" d'André Téchiné, un film lumineux de 1994), que j'ai vraiment beaucoup aimé.





Depuis toujours, Gaël Morel m'intéresse. J'ai déjà parlé de lui, dans ce blog, à propos d'un livre: New wave, co-écrit avec Ariel Kenig (Flammarion, 2007): une démarche singulière puisqu'il s'agit d'un scénario devenu roman, alors que l'inverse se produit le plus souvent.

Le film que j'ai regardé s'intitule Le clan, il est sorti en 2003.



Trois frères sont successivement évoqués, dans ce film, aussi dissemblables que possible, mais réunis dans le fond par la mort, un peu avant, de leur mère. C'est un film dur avant d'être tendre, mais la tendresse n'en est pas absente.

Je me dois d'être franc, j'ai choisi de regarder ce film, avant même d'en connaître le contenu, à cause de Gaël Morel, mais aussi en raison d'un des acteurs, qui depuis longtemps me subjugue (je vous avais prévenu). Il s'agit de Salim Kechiouche.

Salim Kechiouche, je l'avais aperçu dans un film de François Ozon ("Les amants criminels" - 1998 ), et  puis, dans un autre film de Robert Salis ("Grande école" - 2003).


Les réalisateurs ont beaucoup (un peu trop) utilisé Salim Kechiouche dans le rôle du gentil arabe gay. Il a prouvé, au théâtre notamment, qu'il pouvait être cela, mais n'était pas que cela. Mais il me subjugue, alors que voulez-vous ...



Ce film fut aussi l'occasion d'une découverte. Je ne connaissais pas du tout Nicolas Cazalé. Il est un des trois frères. Il est écorché vif et révolté et vit tout cela à l'excès, ce qui m'a touché bien entendu. Pour ce film, il est passé par une métamorphose physique qui le rend encore plus beau.  Pendant tout le film, je n'avais d'yeux que pour lui, car il me touchait plus que les autres ... et il me subjuguait.




J'ai hâte de le découvrir notamment dans Le grand voyage (Ismaël Ferroukhi - 2004) et dans Mensch (Steve Suissa - 2009),  juste pour être subjugué.

Bien entendu, mes goûts sont mes goûts et je ne sais pas ce qu'en pensent mes lectrices féminines.

Vous allez me dire qu'ils se ressemblent un peu ... et alors?

Comme vous, j'ai été aussi subjugué cet été par d'autres beaux gosses.

Choisissons-en deux.

Bart de Wever.


Camille Lacourt.






J'ai essayé de trouver une photo de BDW en maillot de bain, en vain. Il faudra bien vous contenter par conséquent de Camille Lacourt. Quant à moi, vous pouvez toujours courir.

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